mercredi 26 mai 2010

Oups.

On peut dire que j'ai délaissé ce blog ... Mais je ne m'avoue pas vaincue ahahahah *sort*. Bref, il s'est passé pas mal de choses pendant tout ce temps et je pense que je ne pourrai pas tout raconter parce que 1) j'avoue que ça m'embête un peu, 2) tout le monde n'a pas besoin de savoir que j'ai filé deux paires de collants en deux jours (voire deux heures, sachant que je les ai filé l'heure qui suivait leur enfilage). Donc, pour éviter de raconter ma vie - tout en la racontant quand même un peu (narcissisme quand tu nous tiens), je vais vous parler de quelque chose qui me tient à coeur en ce moment. TWITTER. En bonne accro de l'ordi que je suis, il y a quelques temps, je n'ai pas pu m'empêcher de m'inscrire sur Twitter, pensant, encore et toujours, que ce ne serait qu'une passade, un truc que je délaisserais au bout de 2 semaines. Eh bien pas du tout ! Je suis encore sur le cul quand je me dis que depuis que je m'y suis inscrite, je n'ai pas abandonné. C'est fou comme ça peut rendre addict. Et pourquoi twitter rend addict ? Cette démonstration se fera en ... jesaispasencorecombien de points, mais je vais la faire.


Pourquoi Twitter, c'est le Bien avec un grand B.

1) Les jeuns d'aujourd'hui traversent une forte tendance kikoololbestàahtmtclolmdr qu'on a parfois (souvent) envie de fuir. Et c'est là qu'intervient Twitter. Twitter te permet d'éliminer cette espèce sous-évoluée de tes "amis". C'est-à-dire que contrairement à FB, t'es pas obligé de te farcir les commentaires à la con ou plutôt statuts à la con de gens qui te racontent leur vie en pas-français, ou alors de gens qui te racontent leur vie et que t'en as simplement rien à foutre que Kévin sorte avec Beverly ou que Steven ait pété la gueule à Jordan (le fait que tous les mômes aient des noms pseudo-américains ressortis de petites merveilles télévisuelles telles que Dallas et son univers impitoyable ou encore Les feux de l'amour - séries que, je tiens à préciser, on peut tout à fait commencer en cours de route sans être perdu. C'est un peu comme le Plus Belle La Vie français quoi - m'échappe). Pour faire court, sur Twitter, tu as le choix. Evidemment, me direz-vous, sur FB, on peut supprimer lesdites personnes de nos contacts. Mais FB, c'est le mal, c'est vicieux : même si au plus profond de toi, tu te dis que t'en as marre de ces gens, tu peux pas les supprimer. Pourquoi ? Parce que même si osef de leur life, ben pas tant que ça. C'est toujours amusant de voir la connerie chez les autres non ? Surtout quand c'est bien fait. Bref, avantage Twitter. Twitter, c'est que des gens biens, que des gens tout doux, tout beaux, tout gentils qui te soutiennent, te font des free hugs virtuels et sont là pour écouter tes petits malheurs. Twitter, c'est le monde des bisounours. Et en plus, tu peux follower des "stars" sans avoir l'air de vouloir trop gratter l'amitié.

2) C'est prouvé scientifiquement, Twitter donne moins de conjonctivites que FB. Oui, parce FB, okay, c'est pratique, okay, c'est cool, mais c'est moi ou c'est de plus en plus moche à chaque fois qu'ils font une modification ? C'est surtout de moins en moins pratique. Twitter, t'écris, tu postes et hop, emballé c'est pesé (enfin posté ihi). Le graphisme est épuré, t'as pas de pubs partout qui t'agressent les yeux (en parlant de graisse, vous remarquerez que la plupart des pubs sont destinées à nous montrer comment perdre du poids ... Méditez). On peut customiser (ou tuner si des Jackys lisent) notre page Twitter, choisir un pseudo, etc.

3) Cela m'amène à ce 3ème point fatidique. La population. Sur Twitter, il est dix fois plus facile de rencontrer des gens extraordinaires. Comme je l'ai dit plus haut, en gros, Twitter est une grande famille (très grande) et c'est cette ambiance qui me fait préférer Twitter à FB. Et qui va sûrement me pousser à supprimer mon compte FB. Il y a d'autres moyens d'expressions que de faire des tests, avouons-le, stupides ou de poster des choses sans intérêt. Je me sens bridée sur FB, parce que je n'ose pas parler de telle ou telle chose de peur que quelqu'un que je connaisse le voit, je ne pense pas être la seule à ressentir ça. Avoir une "vie" virtuelle, c'est peut-être pas si mal que ça au fond. Avoir 678 amis sur FB ne fera pas mon bonheur, on est d'accord.

Si vous, jeunes bloggeurs, bloggeuses, tweeteurs et tweeteuses trouvez d'autres arguments, je suis preneuse !